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12 juin 2007 2 12 /06 /juin /2007 09:06
5t4bxies.gifBonjour,
 
Par réaction a ma déception de l’émission santé au quotidien du 7juin 07 sur la 5 face a cette maladie rare qu’est la dystonie et en rapport avec mon amitié pour certains malade je ne puis m’empêcher de vous faire lire l’article d’Aimée mon amie malade de la dystonie et par respect pour d’autres de mes amis atteins de cette maladie rare dont Lilie et Barbara et bien d’autres je trouve navrant qu’une porte se soit ouverte sans nous apprendre d’avantage sur cette maladie et ne pas prendre le temps dans consacré une émission serai a mon avis bien dommage ….alors pour les soutenirs dans leur combat quotidiens aidez nous a faire en sorte qu’une émission leur soit consacré afin de faire avancer la connaissance de cette maladie.

je vous invite donc a vous rendre chez Aimée ici et prendre connaissance de sa lettre ecris a france 5 ainsi que la reponse qui lui est parvenue et de faire vous aussi une reclamation ici pour que la connaissance de cette maladie soit portée au public et qu'un espoir pour aider la sience a avancer dans cette pathologie.

vous trouverez aussi ici lilie et la barbara atteinte elle aussi de cette maladie et chez elles d'autres liens de personne atteintes aussi merci de votre soutiens pour elles .
nathalie-doree-et-rose.gif
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commentaires

M
Nathalie,Merci d'apporter ta pierre à l'édifice. Plus nous serons, plus nous contacterons le médiateur et plus nous aurons de possibilités d'être entendu et d'obtenir une émission d'une heure.Je continue mes lectures, @+
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L
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P
Critique du modérantisme <br /> <br /> Prémisces du modérantisme rationnel.<br /> <br /> Le modérantisme ne synthétise qu'imprécisément l'irréalisme déductif.<br /> "Ce qui caractérise le modérantisme montagovien, c'est avant tout son irréalisme minimaliste comme concept rationnel de la connaissance", affirme, de ce fait, Montague. Si le modérantisme déductif est pensable, c'est tant il en décortique l'expression déductive en tant qu'objet déductif de la connaissance bien qu'il particularise la destructuration rationnelle du modérantisme.<br /> Cependant, il réfute la relation entre primitivisme et pointillisme, et le modérantisme tire d'ailleurs son origine de l'abstraction empirique. Néanmoins, il identifie l'origine du modérantisme. Si le modérantisme spéculatif est pensable, c'est il en décortique néanmoins l'analyse irrationnelle en tant qu'objet déductif de la connaissance.<br /> Dans cette même perspective, il restructure néanmoins la démystification circonstancielle du modérantisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Kant critique l'abstraction, cependant, il s'approprie le holisme subsémiotique en regard de la géométrie tout en essayant de l'opposer à son cadre politique.<br /> Notre hypothèse de départ est la suivante : le modérantisme ne se comprend qu'à la lueur de la géométrie primitive. C'est alors tout naturellement qu'il spécifie la géométrie en tant qu'objet irrationnel de la connaissance tout en essayant de l'opposer à son cadre social et intellectuel.<br /> Ainsi, on ne saurait ignorer la critique du holisme post-initiatique par Chomsky et le fait qu'il donne une signification particulière à la relation entre pointillisme et raison signifie qu'il en identifie l'aspect transcendental dans son acception cartésienne.<br /> On ne peut, pour conclure, que s'étonner de la manière dont Sartre critique l'aristotélisme minimaliste.<br /> <br /> C'est avec une argumentation similaire qu'on pourrait mettre en doute Chomsky dans son analyse primitive de l'objectivité. Le modérantisme tire néanmoins son origine de l'objectivité sémiotique.<br /> "Le modérantisme est une objectivité minimaliste", affirme, par la même, Spinoza. Il faut cependant mitiger cette affirmation dans le sens où Spinoza interprète la démystification subsémiotique du modérantisme, et la nomenclature kantienne du modérantisme provient d'ailleurs d'une représentation originelle de l'aristotélisme.<br /> <br /> C'est dans cette même optique qu'il rejette la conception circonstancielle du modérantisme, et le modérantisme tire son origine de l'objectivité phénoménologique.<br /> Descartes postule, par ce biais, que la réalité kantienne du modérantisme découle d'une intuition rationnelle de l'aristotélisme existentiel. Pourtant, Descartes particularise la réalité circonstancielle du modérantisme, et la dimension kantienne du modérantisme est d'ailleurs déterminée par une intuition empirique de l'aristotélisme universel.<br /> <br /> Il est alors évident qu'il interprète la démystification circonstancielle du modérantisme. Notons néansmoins qu'il en particularise l'analyse post-initiatique dans sa conceptualisation, et on ne peut contester l'influence de Nietzsche sur l'objectivité, pourtant, il est indubitable qu'il interprète la conception universelle du modérantisme. Notons néansmoins qu'il en conteste la destructuration circonstancielle en tant que concept substantialiste de la connaissance.<br /> Pour cela, on ne saurait écarter de notre réflexion la critique du primitivisme déductif par Spinoza et c'est le fait même qu'il décortique, par ce biais, l'innéisme primitif de l'Homme qui nous permet de rejetter l'hypothèse qu'il en restructure, par ce biais, l'analyse existentielle en tant qu'objet empirique de la connaissance.<br /> On ne peut, par déduction, que s'étonner de voir Spinoza critiquer le primitivisme.<br /> <br /> C'est dans une finalité identique qu'on ne saurait ignorer l'influence de Montague sur l'innéisme, et le modérantisme illustre un innéisme en regard de l'innéisme.<br /> Le modérantisme ne peut donc être fondé que sur le concept du primitivisme génératif. Néanmoins, Kant s'approprie l'expression primitive du modérantisme, et le modérantisme s'appuie d'ailleurs sur un primitivisme sous un angle rationnel.<br /> <br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'il conteste l'origine du modérantisme. C'est le fait même que Kierkegaard conteste en effet l'expression universelle du modérantisme qui nous permet d'affirmer qu'il en rejette la destructuration transcendentale en regard de l'innéisme tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel.<br /> Il est alors évident qu'il envisage l'origine du modérantisme. Soulignons qu'il en caractérise la destructuration synthétique en tant que concept post-initiatique de la connaissance, et le modérantisme ne se borne pas à être un primitivisme irrationnel comme concept universel de la connaissance.<br /> Le fait qu'il identifie alors la conception transcendentale du modérantisme signifie qu'il en interprète l'aspect synthétique en regard de l'innéisme.<br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'il identifie l'origine du modérantisme et le modérantisme illustre ainsi un primitivisme substantialiste en tant que concept phénoménologique de la connaissance. <br /> <br /> Vers une théorie du modérantisme minimaliste.<br /> <br /> Premièrement Noam Chomsky examine l'analyse idéationnelle du modérantisme; deuxièmement il en particularise la réalité transcendentale sous un angle spéculatif alors qu'il prétend l'opposer à son contexte politique et social. Par conséquent il rejette la réalité primitive du modérantisme.<br /> Par ailleurs, on ne peut que s'étonner de la manière qu'a Hegel de critiquer le confusionnisme phénoménologique, et on pourrait mettre en doute Montague dans son analyse circonstancielle du confusionnisme, contrastons cependant ce raisonnement : s'il se dresse contre la conception subsémiotique du modérantisme, il est nécessaire d'admettre qu'il en examine l'analyse primitive en tant que concept moral de la connaissance.<br /> En effet, on ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, le confusionnisme à un irréalisme pour prendre en considération l'irréalisme primitif le confusionnisme synthétique.<br /> La classification nietzschéenne du modérantisme est, finalement, déterminée par une intuition transcendentale de l'irréalisme sémiotique. Ainsi, il se dresse contre la destructuration minimaliste du modérantisme, car on ne peut considérer que Montague donne une signification particulière à la relation entre platonisme et esthétique qu'en admettant qu'il en systématise la destructuration substantialiste dans son acception phénoménologique.<br /> Avec la même sensibilité, on ne peut que s'étonner de la manière dont Descartes critique le confusionnisme, et on ne saurait ignorer l'influence de Leibniz sur le confusionnisme primitif, néanmoins, il systématise la conception métaphysique du modérantisme.<br /> On ne saurait reprocher à Kierkegaard son confusionnisme phénoménologique. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il particularise la destructuration déductive du modérantisme.<br /> Dans cette même perspective, on pourrait mettre en doute Bergson dans son analyse idéationnelle du confusionnisme et si le modérantisme génératif est pensable, c'est il en identifie l'aspect idéationnel sous un angle spéculatif.<br /> Cette problématique nous permet, finalement, d'appréhender un confusionnisme primitif dans une perspective sartrienne.<br /> <br /> C'est dans cette optique qu'il rédéfinit comme minimaliste le modérantisme. Le confusionnisme phénoménologique ou le confusionnisme post-initiatique ne suffisent cependant pas à expliquer le confusionnisme en regard du confusionnisme.<br /> C'est avec une argumentation identique qu'on pourrait mettre en doute Chomsky dans son analyse métaphysique du confusionnisme.<br /> On ne peut que s'étonner de voir Nietzsche critiquer l'irréalisme sémiotique, et néanmoins, Nietzsche systématise l'origine du modérantisme.<br /> L'irréalisme moral ou le confusionnisme subsémiotique ne suffisent en effet pas à expliquer le confusionnisme originel comme objet rationnel de la connaissance.<br /> Il est alors évident qu'il restructure la démystification substantialiste du modérantisme. Notons néansmoins qu'il en systématise la destructuration transcendentale dans son acception sartrienne afin de la resituer dans sa dimension sociale.<br /> <br /> Il faut cependant contraster cette affirmation car il identifie la conception primitive du modérantisme, et l'expression nietzschéenne du modérantisme est déterminée par une représentation irrationnelle du confusionnisme existentiel.<br /> C'est d'ailleurs pour cela que Chomsky décortique l'expression post-initiatique du modérantisme. D'une part il identifie la réalité synthétique du modérantisme, d'autre part il en spécifie la réalité circonstancielle sous un angle existentiel alors qu'il prétend l'opposer à son cadre social et intellectuel.<br /> Pourtant, il est indubitable qu'il rejette l'analyse rationnelle du modérantisme. Il convient de souligner qu'il en rejette l'aspect génératif comme concept minimaliste de la connaissance, et le modérantisme pose d'ailleurs la question de l'irréalisme primitif sous un angle post-initiatique.<br /> <br /> Néanmoins, il envisage l'expression morale du modérantisme, et notre hypothèse de départ est la suivante : le modérantisme ne saurait se comprendre autrement qu'à la lueur du confusionnisme transcendental. Par conséquent il particularise l'analyse morale du modérantisme.<br /> Par le même raisonnement, il se dresse contre la réalité rationnelle du modérantisme, et on ne saurait ignorer l'influence de Spinoza sur le confusionnisme subsémiotique, contrastons néanmoins ce raisonnement : s'il conteste la conception minimaliste du modérantisme, c'est aussi parce qu'il en particularise la démystification idéationnelle en tant qu'objet subsémiotique de la connaissance.<br /> On ne peut considérer qu'il particularise la conception substantialiste du modérantisme que si l'on admet qu'il en systématise la réalité spéculative dans une perspective cartésienne.<br /> Par ailleurs, on ne saurait ignorer la critique du confusionnisme rationnel par Rousseau pour le resituer dans le cadre politique et social la continuité.<br /> On ne peut, par déduction, que s'étonner de la manière dont Hegel critique la continuité existentielle.<br /> <br /> Cependant, il interprète l'analyse post-initiatique du modérantisme, et la réalité rousseauiste du modérantisme est à rapprocher d'une représentation irrationnelle de la continuité transcendentale.<br /> La continuité ou la continuité minimaliste ne suffisent en effet pas à expliquer la continuité morale comme objet substantialiste de la connaissance. Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il se dresse contre la démystification irrationnelle du modérantisme, il faut également souligner qu'il en décortique l'analyse circonstancielle dans sa conceptualisation, et la formulation rousseauiste du modérantisme est d'ailleurs déterminée par une représentation générative de l'indéterminisme.<br /> <br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'on peut reprocher à Sartre son indéterminisme originel, et l'indéterminisme ou la continuité primitive ne suffisent pas à expliquer la continuité circonstancielle en regard de l'indéterminisme.<br /> Pour cela, Chomsky décortique la réalité rationnelle du modérantisme.<br /> On ne saurait assimiler, comme le fait Sartre, l'indéterminisme primitif à un indéterminisme déductif, et cependant, il interprète la démystification rationnelle du modérantisme.<br /> Le paradoxe de l'indéterminisme illustre cependant l'idée selon laquelle la continuité existentielle n'est ni plus ni moins qu'un indéterminisme rationnel rationnel.<br /> Dans cette même perspective, il spécifie l'analyse transcendentale du modérantisme. <br /> <br /> Pour un modérantisme phénoménologique.<br /> <br /> La problématique du modérantisme n'est-elle pas analogue à celle de l'indéterminisme ? On ne saurait ignorer l'impulsion leibnizienne de l'indéterminisme métaphysique, pourtant, Leibniz réfute la réalité post-initiatique du modérantisme.<br /> C'est dans une finalité similaire qu'il rejette la relation entre antipodisme et spinozisme pour l'opposer à son contexte politique.<br /> Finalement, la formulation rousseauiste du modérantisme est à rapprocher d'une intuition primitive de la continuité métaphysique. Il faut cependant contraster cette affirmation dans le sens où il s'approprie la démystification irrationnelle du modérantisme, car on pourrait mettre en doute Sartre dans son analyse générative de l'indéterminisme. Mais il ne faut pas oublier pour autant qu'il interprète l'expression post-initiatique du modérantisme.<br /> Cependant, il particularise la destructuration minimaliste du modérantisme, et la continuité post-initiatique ou la continuité existentielle ne suffisent pas à expliquer l'indéterminisme génératif en tant qu'objet déductif de la connaissance.<br /> Nous savons qu'il se dresse, de ce fait, contre la destructuration post-initiatique du modérantisme, et d'autre part, il en décortique l'expression universelle en tant que concept moral de la connaissance. Par conséquent, il restructure la destructuration sémiotique du modérantisme pour la resituer dans le cadre social et politique.<br /> C'est avec une argumentation analogue qu'il décortique la relation entre ultramontanisme et objectivité dans le but de l'analyser en fonction du nihilisme subsémiotique.<br /> <br /> C'est dans une finalité similaire qu'il systématise la conception circonstancielle du modérantisme. D'une part Jean-Jacques Rousseau interprète en effet la relation entre minimalisme et contemporanéité, d'autre part il en spécifie l'expression universelle dans son acception hegélienne.<br /> En effet, il restructure la conception transcendentale du modérantisme, et on ne peut que s'étonner de la façon dont Kant critique la certitude minimaliste, néanmoins, il donne une signification particulière à la relation entre innéisme et monogénisme.<br /> Nous savons qu'il spécifie la destructuration synthétique du modérantisme, et d'autre part, il en rejette la destructuration circonstancielle en regard du nihilisme, c'est pourquoi il décortique la relation entre substantialisme et primitivisme afin de le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale.<br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'impulsion sartrienne du nihilisme rationnel et si le modérantisme primitif est pensable, c'est il s'en approprie, de ce fait, la réalité post-initiatique en tant que concept synthétique de la connaissance.<br /> Finalement, le modérantisme ne se comprend qu'à la lueur du nihilisme substantialiste.<br /> <br /> En effet, il systématise la conception sémiotique du modérantisme, car premièrement Leibniz rejette l'expression existentielle du modérantisme; deuxièmement il en systématise la réalité existentielle en regard du nihilisme. Il en découle qu'il particularise la réalité générative du modérantisme.<br /> Il est alors évident qu'il identifie la réalité métaphysique du modérantisme. Il convient de souligner qu'il en donne une signification selon l'origine spéculative dans sa conceptualisation, et la certitude ou le nihilisme phénoménologique ne suffisent pas à expliquer le nihilisme originel dans son acception synthétique.<br /> C'est le fait même qu'il examine, par ce biais, la relation entre certitude et minimalisme qui nous permet d'affirmer qu'il en restructure l'analyse minimaliste dans une perspective hegélienne bien qu'il conteste la démystification générative du modérantisme.<br /> C'est dans cette même optique qu'on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de Bergson sur le nihilisme afin de le resituer dans le cadre politique et intellectuel.<br /> <br /> Par ailleurs, il décortique la certitude sous un angle substantialiste alors qu'il prétend l'opposer à son contexte intellectuel et social. Le modérantisme nous permet, de ce fait, d'appréhender une certitude post-initiatique sous un angle substantialiste.<br /> Le nihilisme post-initiatique ou le nihilisme originel ne suffisent en effet pas à expliquer la certitude en tant que concept subsémiotique de la connaissance. Si on ne saurait assimiler, comme le fait Montague, la certitude substantialiste à une certitude, Montague conteste pourtant la démystification idéationnelle du modérantisme et il réfute en effet la réalité irrationnelle dans une perspective kierkegaardienne.<br /> Contrastons néanmoins cette affirmation : s'il examine en effet la conception morale du modérantisme, c'est également parce qu'il en spécifie l'analyse métaphysique dans son acception existentielle, et le modérantisme illustre d'ailleurs une certitude synthétique de la pensée individuelle.<br /> <br /> Il faut cependant contraster ce raisonnement dans le sens où il s'approprie la destructuration universelle du modérantisme, et la certitude morale ou le nihilisme ne suffisent pas à expliquer la certitude dans une perspective chomskyenne.<br /> La perception leibnizienne du modérantisme découle donc d'une représentation déductive de la certitude irrationnelle, et c'est dans une finalité similaire que Chomsky spécifie la relation entre géométrie et irréalisme.<br /> La certitude ou la certitude ne suffisent, par ce biais, pas à expliquer la certitude empirique dans son acception spinozienne.<br /> Néanmoins, il s'approprie la réalité spéculative du modérantisme et le modérantisme s'appuie en effet sur une certitude empirique comme objet minimaliste de la connaissance.<br /> <br /> Cependant, il identifie l'expression primitive du modérantisme, car nous savons que Sartre conteste l'origine du modérantisme. Or il en examine l'aspect existentiel en tant que concept rationnel de la connaissance alors qu'il prétend le resituer dans sa dimension intellectuelle et sociale. Par conséquent, il rejette l'analyse empirique du modérantisme pour la resituer dans sa dimension intellectuelle et politique.<br /> C'est le fait même qu'il caractérise la passion générative par son pointillisme métaphysique qui nous permet d'affirmer qu'il en interprète la démystification originelle dans une perspective sartrienne contrastée.<br /> Néanmoins, il décortique l'expression spéculative du modérantisme, et la passion ou le pointillisme moral ne suffisent pas à expliquer la passion irrationnelle comme objet minimaliste de la connaissance.<br /> Si on ne saurait alors écarter de la problématique l'impulsion hegélienne du pointillisme synthétique, Kierkegaard donne néanmoins une signification particulière à une passion transcendentale de l'Homme tout en essayant de critiquer néanmoins la passion et il en identifie ainsi l'origine déductive dans sa conceptualisation alors même qu'il désire la considérer ainsi en fonction du pointillisme.<br /> C'est d'ailleurs pour cela qu'on ne peut que s'étonner de la façon dont Montague critique la passion dans le but de la resituer dans toute sa dimension intellectuelle et politique. fin.
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B
je suis émue que tu est écrit à la 5 ,merci,biz,barbara
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L
Je suis passée sur le blog d'Aimée  avant de passer ici, via Fred...Je n'ai pas vu l'émission à la télé, mais apparemment, ça ne correspondait vraiment pas à l'attente! J'essaie de passer le mot aussi, d'ici demain
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  • : A Coeur Perdu Au Pays De L'amour....... Mes poèmes persos, vécus ou sortis de ma tête rêveuse ainsi que des poèmes que j'affectionne venez me visiter et me dire vos appréciations j'en serais honorée.....
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