9 juillet 2007
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La maladie d’Amour
De ses ailes si frêles mais hardies,
Plus douce que qu’une seule caresse,
D’une délicatesse tendre et infinie,
Elle viendra encensé sans cesse,
Ton âme d’enfant qui encor perdure,
Elle si vaporeuse et affriolante,
Parfois vécu comme une torture,
Même succulente et non violente,
Déesse sur ta vie au pouvoir d’aimer,
Comme une fée qui guide ton sourire
Seule coupable de ton cœur suave agité,
Tu ne peux en aucun cas la maudire,
Elle t’offre la plus adorable félicitée.
Nathalie.P